Alo ui cer Internet
Faisez l’amour interactif

Love at first site ou l’histoire en dix chapitres de deux ados. Un jeune grec en plein été, une jeune anglaise en vacances, un regard échangé, et tout plein d’émotions à l’intérieur… Vivez cette histoire en plein écran, en prenant le contrôle de nos jeunes amis. Comme tout cela tient à pas grand chose, les possibilités pour ne pas conclure sont nombreuses. A vous d’éviter les pièges et d’avoir les bons réflexes !

Personnellement, je ne dois pas être très bon. J’ai dû foirer l’amourette une dizaine de fois, me plantant dans les choix. Au début c’est simple, il faut bêtement suivre un bus. A gauche, à gauche, et ensuite… mince, où elle a dit qu’elle partait déjà ? Faut bien écouter… Le reste n’est pas plus compliqué, il suffit de rester en éveil.

L’aventure Love at first site se découpe vraiment comme une mini-série. La prod est à la hauteur, puisqie toutes les séquences, même les mauvaises, sont filmées. Ca fait pas mal de choix ! Mais cela n’influe pas directement sur la suite de l’histoire : vous vous plantez, c’est fini. Il n’y a qu’un seul « bon » chemin. Qu’importe, il regorge de clichés comme on les aime, soleil couchant et larmes inclus.

Et le produit, dans tout ça ? Il s’agit de Lacta, une barre chocolatée façon Kit-Kat. Figurez-vous que tout du long, on ne comprend pas trop le rapport. Lacta nous offre une histoire interactive, c’est très sympa. Il faut attendre la toute faim fin pour comprendre que cette friandise sera au cœur d’un dénouement heureux. Ouf, on a eu chaud ! Mais globalement, même si c’est un peu niais, saluons la prod (Ogilvy One Greece), et l’histoire qui tient debout, avec des choix malins très bien intégrés à la vidéo.

via Maudule qui a pécho sur Adverblog.

  1. Raph dit :

    Ca me rappel beaucoup la campagne « Get the girl » de Twix : http://www.twix.com/

  2. […] pour tenir en haleine le spectateur sans le perdre. Quelques bons exemples de fin 2008 à voir : Lacta, Agent Provocateur, James Bond (Sony […]